Cossette lance son Observatoire marketing
Benoît Bessette, vice-président de Cossette et responsable de ce nouveau centre consacré au développement de la connaissance marketing, en explique le fonctionnement et les objectifs.
@COSSETTEfr @COSSETTEen
Quel est l'objectif de cet Observatoire?Pendant longtemps, les agences ont été reconnues pour ce qu'elles faisaient, pas pour ce qu'elles savaient. Nous sommes pourtant très bien placés pour développer un savoir et des connaissances spécifiques. De plus en plus, les marques recherchent du contenu. Or, en Amérique du Nord, il n'existe que trois grands pôles où une masse critique de gens en développent: Montréal, Los Angeles et New York. Et à Montréal, en plus, nous le faisons en deux langues. Nous avons la capacité de devenir une plaque tournante de l'excellence en marketing.
Concrètement, comment fonctionne-t-il?La première cohorte est composée d'Isabelle Beauchemin, Olivier Charbonneau, Anick Gagné et Chloé Garel, conseillers de Cossette, et de Katia Robillard, directrice-conseil de Citoyen Optimum. Ensemble, ils doivent se pencher sur la question «En 2025, magasiner, ce sera quoi?». Pour cela, ils ont accès à un bassin d'experts, composés de certains clients de l'agence et d'autres personnes en vue dans l'industrie, avec qui ils peuvent s'entretenir. Nous avons aussi signé un partenariat stratégique avec l'Université de Sherbrooke, qui met à leur disposition des professeurs. C'est une façon pour eux d'allier les aspects théoriques et pratiques du marketing.
Que se passe-t-il à l'issue de cette formation?C'est une période de coaching intensive qui doit leur permettre de démontrer un leadership des idées. Les coéquipiers doivent compléter quatre cours en commerce électronique, marketing, stratégie et intelligence d'affaires, qui leur donnent ensuite neuf crédits de l'Université de Sherbrooke. À la mi-juin, ils doivent également se réunir devant trois sages, trois sommités dont l'identité sera bientôt révélée, puis leur présenter un livre blanc avec leurs conclusions et propositions. Une autre cohorte sera mise sur pied en septembre, avec un nouveau sujet
Benoît Bessette, vice-président de Cossette et responsable de ce nouveau centre consacré au développement de la connaissance marketing, en explique le fonctionnement et les objectifs.
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Quel est l'objectif de cet Observatoire?Pendant longtemps, les agences ont été reconnues pour ce qu'elles faisaient, pas pour ce qu'elles savaient. Nous sommes pourtant très bien placés pour développer un savoir et des connaissances spécifiques. De plus en plus, les marques recherchent du contenu. Or, en Amérique du Nord, il n'existe que trois grands pôles où une masse critique de gens en développent: Montréal, Los Angeles et New York. Et à Montréal, en plus, nous le faisons en deux langues. Nous avons la capacité de devenir une plaque tournante de l'excellence en marketing.
Concrètement, comment fonctionne-t-il?La première cohorte est composée d'Isabelle Beauchemin, Olivier Charbonneau, Anick Gagné et Chloé Garel, conseillers de Cossette, et de Katia Robillard, directrice-conseil de Citoyen Optimum. Ensemble, ils doivent se pencher sur la question «En 2025, magasiner, ce sera quoi?». Pour cela, ils ont accès à un bassin d'experts, composés de certains clients de l'agence et d'autres personnes en vue dans l'industrie, avec qui ils peuvent s'entretenir. Nous avons aussi signé un partenariat stratégique avec l'Université de Sherbrooke, qui met à leur disposition des professeurs. C'est une façon pour eux d'allier les aspects théoriques et pratiques du marketing.
Que se passe-t-il à l'issue de cette formation?C'est une période de coaching intensive qui doit leur permettre de démontrer un leadership des idées. Les coéquipiers doivent compléter quatre cours en commerce électronique, marketing, stratégie et intelligence d'affaires, qui leur donnent ensuite neuf crédits de l'Université de Sherbrooke. À la mi-juin, ils doivent également se réunir devant trois sages, trois sommités dont l'identité sera bientôt révélée, puis leur présenter un livre blanc avec leurs conclusions et propositions. Une autre cohorte sera mise sur pied en septembre, avec un nouveau sujet
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